Départ de Cadaquès, fait péter la grosse caisse.
Départ au matin, mais du vent , y en a point.
Le pont tout mouillé,
En ciré, on a barré.
Et pour vaincre la pluie,
L’équipage a chanté sans ampli.
Mais, la faim et le froid ont repris leurs droits,
Sous de gros nuages gris, l’équipage a failli.
On va pas dire qu’on en a marre,
Mais c’est trop loin pour les Baléares !
Le soleil, tel une pépite,
Nous ouvre le chemin jusqu’à Estartit.
Renaissance à l’abri du port,
Seul bémol, le décor.
Le bruit des bulldozers,
Nous feraient presque reprendre la mer.
Ça ira pour la nuit,
Et oui on est tous cuits !
PS : Jean-Marie, ton gâteau au chocolat,
On s’en lèche encore les doigts !
Thierry et Rachel.
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