Nous avons fait des courses à Ajaccio, une équipe marché et supermarché. Nous avons ramené sur nos dos et bras fatigués des abricots écrasés, des melons et une grosse pastèque. Dans les rochers on a même trouvé un pare-battage… et Louise !
Tandis que Sullivan est parti prendre son ferry. Nous avons aussi pris le temps de remplir les réservoirs d’eau après une longue manœuvre.
Après cela nous sommes partis sur les îles Sanguinaires où nous avons cette fois-ci débarqué.
Le lendemain, direction Scandola: un mouillage époustouflant et rouge !
Certains ont sauté des rochers, d’autres ont fait du kayak-plongée dans des grottes sous-marines un peu flippantes. C’est aussi là que nous avons commencé notre bilan collectif de fin de stage, on se creuse les méninges sur nos attentes, nos relations et notre fonctionnement collectif.
Nous quittons la Corse en fin de journée, et arrivons à l’anse de Gau, 24 heures plus tard, après une nuit de quart et une rencontre avec au moins une baleine qui nageait près du bateau.
Le lendemain : mission recherche de l’hélice. Sans succès.
S’ensuit un nouvelle plongée « sauvetage » et après un nouvel échec, nous partons pour les Calanques.
Pendant cette navigation, durant une baignade, Maxime lâche le bout qui le reliait au bateau.
Une petite manœuvre plus tard, nous récupérons
le baigneur à la mer.
Dernier mouillage à Morgiou avant une navigation éprouvante jusqu’à Sète.
C’est aussi un temps de rangement, de bilan et de rencontre avec Carmen, la psychologue de Grandeur Nature. Il sera bientôt l’heure des adieux, en attendant le prochain périple !
Ces 3 semaines sont passées très vite et cela fait drôle de se retrouver sur le quai de la République dans Sète où l’aventure avait commencé.
L’équipage de Grandeur Nature.
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