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11 mai 2014

stage: le 01/05

Le 01/05/2014 Départ de Cadaquès pour Sète Tout le monde se retrouve dans le carré tribord pour le ptit déj quand tout le monde fini nous attaquons les tâches moi je faisais le carré bâbord (c’est le plus facile) quand nous avons fini le carré bâbord nous commençons la manœuvre. Ça y est nous avons décollé pour Sète , il nous reste 60 mille à faire pour arriver a destination. Peu après je me sentais un peu mal je suis allé me reposer et Kélig m’a donné un cachet quand je me suis revenu la vague valsait de tous les sens Hélène eut l’idée de faire un thé pour se réchauffer car tout le monde avait froid une grosse vague a déferlé et le gilet de Philémon s’est enclenché tout le monde a rigolé un coup Tout le monde avait froids et plus personne sentait ses pieds. Nous commençons à arriver au port et tout le monde avait une faim de loup nous commençons la manœuvre et Hélène a dit qu’on mangerait des pâtes. Nous commençons l’apéro et nous nous avions la dalle quant tout à coup nous voyons Christophe débarqué avec des kebab tout le monde a chanté en choeur Christophe, Christophe !! Nous avons dégusté ce merveilleux kebab et tout le monde été fatigué après cette dure journée tout le monde et aller dans sa cabine et nous avons fait un bon petit somme. Moussa

Stage: le 30 avril

Le 30 avril Pendant les quarts, pas de vent. Nous avons donc navigué toute la nuit au moteur. Au petit matin, toujours pas de vent. Mais pendant le p’tit déje un groupe de dauphins est venu nous rendre visite. Au début, il y en avait 2 qui jouaient à l’étrave du bateau. Puis d’autres sont venus et au bout d’un moment et, au bout d’un moment, il y en a eu 7 qui jouaient ensembles à l’avant du bateau. L’eau était tellement transparente que nous avons vu ces animaux nager sous le bateau, à côté du bateau, sous le bateau, devant le bateau etc. Après un bon bout de temps, ils ont commencé à plonger et à partir, mais comme cadeau pour la fin, une mère et son bébé son venus nager devant GN. Nous avons ensuite fini le petit déjeuné et avons encore aperçu un gros groupe de dauphins en chasse. En fin de matinée, le vent est revenu et nous avons enfin pu mettre les voiles et soulager nos oreilles en arrêtant les moteurs. Après le repas, la mer à forci et nous avons commencé à être un peu mouillé, mais beaucoup s’en foutaient car ils dormaient (même si beaucoup se sont réveillés mouillés…). En fin d’après midi,lamer était mouvementé et le vent ne venait pas du bon côté, du coup nous avons allumé les moteurs pour arriver plus vite à Cadaques. Une fois là-bas, impossible de jeter l’ancre, on remontait toujours des algues. Après 3 tentatives infructueuses, nous avons pris un corps mort et avons passé une très bonne nuit avant la navigation du lendemain pour Sète. Philémon

stage: le 29 avril

Le 29 avril Après le petit-déjeuner, on est parti faire le plein d’eau. Après une négociation à l’accueil de la Marina, Thierry annonce que nous avons l’autorisation de rester jusqu’à 15 heures. Kélig, Hélène, Anaëlle et moi sommes partis faire des courses et Kaïs, Thierry et Philémon pour faire les courses du repas. De retour à bord, on mange des sandwichs à l’heure des Espagnols. Après un début de digestion, on a levé l’ancre pour repartir dans notre petit mouillage d’à côté. Iris

stage: le 28 avril

28/04/2014 Ce matin, après les tâches, premier groupe de parole ! Hier soir, les grands ont parlé de nous dans le carré bâbord pendant que nous, nous parlions d’eux dans le carré tribord. Ça a fait du bien à tout le monde de mettre les choses à plat, et nous sommes tous ressortis plus légers. Ensuite, les plus courageux sont allés se défouler à Terre : Philémon et Hélène ont tenu 45minutes de course tandis que Kaïs, Moussa, et moi avons abandonné au fur et à mesure… Pendant ce temps, Kélig et Iris se sont baladées sur l’île, Thierry et Christophe se sont improvisé mécanos pour réparer le moteur tribord, et Yann a fait la cuisine. Après le thé du midi, au revoir Cala Turqueta et bonjour le vent d’Ouest qui a réveillé GN et ses 10 nœuds ! Christophe était à la barre, et Thierry nous a fait un long cours de sécurité (merci GSeb pour les fiches bien détaillées!). Nous sommes arrivés vers 18h dans la baie de Nazaré, juste à côté du port de Mahon, où demain nous irons chasser une place. Une fois les voiles pliées et rangées, les courageux sont allés se baigner (plus ou moins de force hein Philémon!) Nous avons eu un bon repas préparé par Yann et Moussa, avec un bon gâteau en dessert. Au moment du brossage de dent, certains découvrent les limites à ne plus franchir… Ce fût une journée riche en émotions et bien remplie, c’est maintenant avec plaisir que nous allons nous coucher ! Bonne nuit tout le monde ! Anaëlle.

stage: le 27 avril

Le 27 avril Aujourd’hui on lève l’ancre. Cette manœuvre relativement anodine et déjà bien répétée ne prendra que quelques minutes, mais ce qu’elle signifie remplit des bibliothèques entières. On s’en va ; on reprend la mer, on retrouve cet univers déjà connu mais jamais pareil. La destination importe peu, c’est le voyage qui marquera les esprits. Nous pourrions quitter HawaÏ, Le Cap ou bien Minorque, comme aujourd’hui, c’est la même manœuvre, le même rituel de préparation, la même promesse d’un moment hors du temps et des espaces connus de tous mais néanmoins réel et essentiel pendant qu’on le vit, ici, maintenant.ensemble. Le voyage peut durer une journée ou bien des mois, c’est cette même dimension qui semble si lointaine, voire irréelle dès lors qu’on a à nouveau touché terre. Comme si cela n’avait été qu’un rêve. Il se passe mille petites choses à bord : des petits riens qui peuvent tourner en vrais problèmes, des inconvénients minimes ou de grands bonheurs, tous changeant d’ordre d’importance à mesure que l’on avance. Certains gestes pourtant faciles à terre peuvent se montrer si compliqués qu’on se décourage. Un pantalon sec ou un carré de chocolat sont des trésors que l’on apprend à économiser et aussi à partager. Les repas ont une importance qu’on apprend à redécouvrir, le quart de cuisine revêt toute la noblesse d’une distribution de bonheur et se verra récompensé de remerciements et parfois de hourras. L’organisation des équipes de nuit, une flottille de méduses au crépuscule, une famille de dauphins à l’aube, les étoiles filantes entre les deux… .Tous ces moments sont à nous. À nous tous. À nous seuls. Car nous sommes seuls au monde. Ici, maintenant, ensemble. Nous partageons le même espace immense que sont la mer et le ciel, mais en apprenant à partager l’espace somme toute très restreint d’un bateau ; chacun prend sa place. Bien sûr avec plus ou moins de succès, mais chacun fait partie de l’univers de l’autre…Ici, maintenant, ensemble. Je regarde chacun évoluer à son rythme, conquérir l’adversité comme il peut, sourire a l’autre quand il peut. Je suis heureuse de vivre tous ces petits riens qui forment la grande aventure de la vie. Ici, maintenant, ensemble. Hélène

stage: 26 avril

26 avril Texte en vers, enfin plutôt en bleu Majorque la grande nous te quittons sous le vent De rejoindre Minorque pour nous il était temps Vent d’Ouest Grand largue tel est notre allure Gn filait heureux vers le si bel azur Sur le pont mollasson divaguait l’équipage Quand soudain le bateau réclama l’empannage Le cap pris fut le bon et nous voilà partis Pour une crique turquoise d’après ce que l’on dit La voilure affalée par nos jeunes équipiers C’était l’heure pour GN de se motoriser La voilà elle est là la calla Turqueta Nous approchons tranquille du creux de ses bras Finis les bavardages c’est l’heure du mouillage Autour de nous la roche et les arbres sans age L’heure du repas arrive et les ventres affamés Du curry d’Hélène ne firent qu’une bouchée Il était l’heure presque d’aller se coucher À bâbord, les adultes partirent discuter Pendant qu’à tribord les jeunes rigolés Bonne nuit les amis moussaillons équipiers Au pieu, au lit au schnock, il faut maintenant aller ! Yann

stage: 25 avril Tit et Philémon

25 avril Tit et Philémon Tien v’la la pluie ! Aujourd’hui, nous sommes vendredi. Toujours à Mallorca, mais nous avons quitté notre joli mouillage de la cala de Engosaula et nous sommes rapprochés de la civilisation. Ce n’est pas vraiment quelle nous manque.On est bien entre nous, mais Élodie nous quitte et la laisser toute seule, avec son sac à dos, au milieu de nowhere pour rejoindre l’aéroport n’est pas vraiment « corporate ». GN a donc passé la nuit au mouillage de puerto de Pollensa. Au petit matin, la pluie est toujours aussi présente et quand l’heure du réveil arrive, on se sent vachement bien sous sa couette, mais non ce n’est pas les vacances… Debout l d’ans !! Petit déj à l’abri, les tâches du matin et préparation pour les missions à Terre. Mission 1 : Qu’Élodie trouve un bus pour l’aéroport. Mission 2 : Que Christophe trouve Internet afin que vous puissiez suivre nos aventures amis lecteurs. Mission 3 : Que Yann, Kaïs et Moussa fassent les petites courses d’appoint ainsi que quelques cartes postales. Une équipe Kélig, Ln, Iris Philémon et moi restons à bord, au cas où GN s’approcherait trop de ces copains de mouillage… La matinée passe, toujours sous la pluie. Nous sommes bien à l’abri, mais l’équipe à terre, malgré leurs cirés… Ça ne doit pas être très drôle… Un semblant d’éclaircie et voilà l’annexe de retour à bord. Toutes les missions sont accomplies ! bien joué l’équipe… La météo n’est pas trop alléchante, nous attendrons demain pour voguer vers Minorque… Inch Allah ! Tit.
La météo s’améliorant un peu, on se dit qu’on allait, peut être, partir pour un mouillage pas loin mais plus sympa. Nous voilà donc partis pour la cala Murta. Pendant le trajet, le vent a poussé les nuages et, miracle, on a eu de plus en plus de ciel pour avoir un ciel presque complètement dégagé et un beau soleil. En arrivant, Kaïs a sauté à l’eau, comme d’habitude, suivi d’Anaëlle et de Kélig, pendant que les autres lisaient, bronzaient ou faisaient la cuisine. Après un bon petit repas, une partie de Mixmo et d’Othello se sont mises en route pour ensuite aller sombrer dans un sommeil profond… Philémon.

Stage: le 24 avril

Le 24 avril. Après 7 mois de travaux, hors de l’eau, Grandeur Nature a repris la mer. Un long moment de chantier où nous lui avons refait le portrait, nous avons exploré tous les endroits possibles pour traquer les infiltrations et le pourrissement. Et maintenant entièrement repeint, il est prêt à vivre d’autres aventures et une nouvelle expédition. Pour l’instant comme un galop d’essais nous avons tourné nos étraves vers le Sud et les îles Baléares. Et c’est de là que je vous écris ! Mais je ne me suis pas encore présenté, moi c’est Christophe, le porteur de projet ou l’Armateur comme m’appelle certains. Depuis 20 ans, je m’occupe de ce bateau, pas tout seul, avec une équipe, des marins, des amis … Ensemble nous organisons ces voyages pour des jeunes, des expéditions sur ce lieu d’envie qu’est devenu « Grandeur Nature ». Pour ce stage 5 marins, aventuriers, éducateurs, êtres humains, ont pris place à bord. Un capitaine et sa sirène, une navigatrice baroudeuse, et même deux éducateurs, un terrien devenu marin pour Grandeur Nature et une ancienne jeune qui a aussi continué sur l’eau… Ont embarqué pour ces deux semaines sur l’eau : Anaëlle, Iris, Philémon, Kaïs et Moussa. Ils sont à bord pour découvrir Grandeur Nature et surtout pour se découvrir eux-mêmes, voir si leur envie les emportera sur l’Océan pour 10 mois d’aventures. Mais ça pour l’instant ce n’est pas écrit ! Peut-être en saurez-vous plus à la fin de ce périple ? Christophe

Stage: Le 23 avril…

Le 23 avril… Ce matin, nous avons terminé les quarts avec un magnifique lever de soleil et pour combler le tout, nous avons vu des dauphins… Soulagement pour Yann qui n’a pas besoin de se raser la moustache, la barbe ou les cheveux !!! La nuit étoilée nous a comblée de bonheur, la lune a éclairé nos cœurs et le soleil a réchauffé nos âmes. Le soleil et la lune se sont levés comme deux amants privés de leurs amours ! Et oui, les quarts de nuit inspirent la poésie… Le soleil brille ce matin… Rien de tel qu’une baignade à la traîne derrière le bateau. On lance un bout (corde) dans l’eau, on saute et surtout, on n’oublie pas de s’accrocher. J’ai trouvé cela génial, on avait l’impression d’être un dauphin. Nous avons travaillé nos neurones en révisant notre jargon marin et l’on pouvait déjà apercevoir les côtes de Majorque et Minorque. Vers 15h, nous sommes arrivés à destination. Nous avons déniché une petite crique où nous avons posé l’ancre. Crique à l’eau cristalline, aux poissons argentés et au paysage méticuleusement travaillé mêlant pins, roche calcaire et chèvres. Nous avons fait un baptême de plongée avec masque, tuba et palmes. Ensuite, nous avons pris l’annexe et nous sommes partis escalader la crique. D’en haut, nous avons observé toute la vaste étendue de l’île de Majorque. Nous avons aperçu notre catamaran long de 15m et large de 8m, alors que de notre hauteur surdimensionnée, il ne faisait que quelques centimètres. A notre retour, Hélène et moi sommes rentrés à la nage. Nous avons mangé dehors, fait un petit jeu tous ensemble et à 22h, nos paupières ont commencé à vaciller, nos cœurs ont palpité et notre sommeil s’est réveillé. Kélig et Kaïs

Stage: Le 22/04/2014

H :Réveil en musique, ce matin ! Tant mieux, après une nuit agitée et mouillée. M :Petit déj tout le monde se retrouve avant de partir pour mallorque H :Il faut un courageux pour plonger de si bonne heure et libérer le bateau par l arrière. Heureusement il y a Yann le Valeureux ! M :Nous sommes donc prêts à appareiller. A la sortie de la baie, nous croisons un banc de bonites. H :Alors là, moi, ça me motive pour pêcher ! Je n’ai pas le temps de monter une ligne correcte alors je balance un gros n’importe quoi dans l’eau. Et qu’est ce que je pêche ? M :Rien du tout !! Hélène nous montes une ligne à Kaïs et moi nous jetons nos lignes a l’eau et ?? H :Zéro ! Rien de plus ! Mais au moins si y en a un qui passe, on l’aura. En attendant, on croise un bon paquet de poissons lune. M :Au goûter, nous avions mangé des crêpes d’un autre monde. H :Et pendant tout ce temps où on était occupés à tout ça, ben le soleil s’est levé et on a passé une vraie bonne journée en mer. Quart de nuit : Bien emmitouflés, on n’a même pas froid. On apprend à repérer les étoiles. M : La grande ourse ressemble a une casserole. L’étoile polaire est la seul qui reste a sa place et qui indique toujours le nord. H : Les blagues d’Elodie ne nous ont pas fait beaucoup rire mais ça a bien passé le temps. Un petit thé et c’est déjà l’heure….. M : D’ALLER DORMIR Hélène et Moussa

Le stage: 21/04/2014

Ce matin, près un réveil long et difficile pour certains, nous avons fait deux groupes, un est parti se promener et l’autre a fait quelques réparations sur le bateau. Avec le premier groupe composé de Moussa, Kaïs, kélig , Hèlène et moi même (Philémon), on est allés sur terre et on est tombé sur une plage de cailloux bien plats, fins et ronds ;parfait pour faire des ricochets, donc on en a fait plein. On est ensuite allé en ville pour faire quelques courses, même si on pensait que la plupart des magasins seraient fermés parce qu’on était le lundi de Pâques.Mais non, presque tous était ouverts. Christophe nous avait demandé demander d’aller voir la baie d’à coté de celle ou l’on mouillait, pour voir si c’est accessible le soir, ou sont les rochers, comment c’est etc…Mais c’était assez loin, donc on a pas pu y aller car on avait que deux heures.On a t0,traversé des quartiers sympas dans la ville et on a aussi remarqué que la plupart des véhicules à moteur sont des scooters. Dès qu’on voyait quelqu’un à vélo ou en voiture, Moussa et Kaïs s’amusaient à dire si il était riches, bourges et Moussa évaluait le prix des vélos !Puis on est rentrés au bateau sans avoir pu voir la baie et en faisant une belle pause sur la plage à ricochets… Kais est retourné sur le bateau à la nage pendant que les autres prenaient l’annexe. En rentrant, on a mangé dehors parce qu’on commençait enfin à voir le soleil. Après ce bon petit repas, l’équipage s’active, chacun à son rythme et nous voilà partis. Quelques minutes après, nous croisons un poisson lune, peut être c’est celui que j’ai bousculé hier parce qu’il paraît un peu mort, même si nous ne relevons pas de traces d’antifouling sur son étrange silhouette. On croisera ses potes à plusieurs reprises. La mer est calme, il y a un peu de vent, on file au moteur vers la baie de Jonculls. Ça bronze sur le pont, ça lit, et ça rigole. L’ambiance est bonne, ça fait plaisir. Anaëlle est emmitouflé dans son sweat pendant qu’Iris est démitouflé en maillot de bain, chacune appréciant différament la météo. Nous voilà dans la baie, très jolie, entourée de beaux cailloux, quelques maisons se rident dans la montagne, Moussa hallucine un peu sur les villes de ouf ! L’ancre est jetée une première fois mais on se rapproche trop de la falaise, évitons le corps accore ! La deuxième est bonne Élodie et Kaïs ,fort courageux, se jettent à l’eau pour aller frapper un bout sur une dent rocheuse, Iris se baigna un peu,Moussa s’habille de pied en cap mais finalement non, Kaïs s’éclate et Tit profite de la vague pour sécuriser l’amare à terre, c’est bon, GN est bien calé. Un quile s’organise, remporté haut la main par Moussa, Christophe lit au pied du mât, le soleil donne, lébon ! Une bonne platée de lentilles pour clore la journée, demain de nouvelles aventures attendent nos jeunes équipiers,bonne nuit tout le monde, j’espère ne pas me faire harceler par un gang de poissons lune revanchards dans mon sommeil ! Topette ! Yann et Philémon

stage: 20/04/2014

Réveil sous la pluie a 7h30, accompagnés du froid et du vent ; nous avons déjeuné les pieds gelés. Nous étions en avance pour l’ouverture des 3 ponts à 9h45. Après être passé devant les plus grands voiliers du monde, nous sortons du port de Sète. Une fois arrivés en pleine mer, on a vite découvert qui avait le mal de mer ! On a fait notre première manœuvre (un peu laborieuse) pour sortir la grand-voile de son taud et endrayer le génois. Et hissez -oh les deux voiles. Avec une avancée moyenne de 10noeuds, chacun a pris la barre. Assis à l’étrave, certains se sont pris une bonne douche de vagues malgré les indications de Kélig ! Pendant la sieste de nos trempés, Yann, à la barre, a percuté un pauvre MOLA MOLA (poisson-lune). Vers 20h00 nous avons fait notre entrée dans la baie de Cadaquès où l’on a jeté l’ancre. Soupe au dîner de Christophe et Philémon pour ensuite, bien fatigués, allés nous coucher. Anaëlle et Iris